Camoins-les-Bains et ses environs


AVANT-PROPOS    - Page 5

CHAPITRE PREMIER : LES BAINS

I. -Description. – Déplacements et villes d’eaux. – Rester chez soi. – Saint Marcel. – La Valentine. – Les Quatres-Saisons. – Les Bains à vue d’œil. – L’eau sulfureuse : L’Aïguo dooun bouen Diou. – La fontaine. – Vers du poète provençal Bénédit. – Plaque de Charles IV, roi d’Espagne ; son exil ; sa venue aux Camoins. – La Chapelle de l’établissement.    - Page 9

II. -La Source. – D’où vient-elle ? – La « Soufrière ». – Analyse chimique des eaux. –Leur vertu naturelle ; maladies soulagées par elles. – Avant et depuis 1811. – Les médecins et les malades. – Crues périodiques ; Canal et arrosage …    - Page 18

III. -Historiques des Bains ou Corporières. – Les Romains sont-ils venus dans ces parages ? – Le quartier des Bains au VIIIe siècle. – Le Monastère de Saint-Sauveur (XIIIe siècle). – Les tasques de Porporières, Porporeas. – Porporières ou Corporières. – Ruisseau de ce nom. – Pierre et Guillelmette Imbert. – Les Frères Prêcheurs. – Les de Cambray avant la Révolution. - M. d’Heureux ; exploitation et ventes. – Le quartier de Corporières.    - Page 24

IV. -Passé, Présent et Avenir des Bains. –Il y a trente-cinq ans ! – Projets et Compagnies. – Situation actuelle. – Ce que devraient être les Bains. – Moyens de locomotion. – Saison balnéaire et beauté du site.    - Page 38


CHAPITRE DEUXIEME : LE VILLAGE

I. -Piéfourcat avant Les Camoins. – Un instantané du village. – Vue d’ensemble. – Les Camoins, il y a six cents ans (1359). – Les Frères Prêcheurs. – Bertrand de Bouc.- Nom de cette contrée. – Que veut dire Piéfourcat ? – Origine.    - Page 43

II. -Le fondateur du village Jean Camoin. – Bail passé avec les Frères Prêcheurs. – Limites. – Fondation des Camoins (1447). – Erreur de Saurel. – Histoire de Jean Camoin. – Frère convers et portugais. – Ce que Les Camoins doivent aux Dominicains.    - Page 49

III. -Enfants de Jean Camoin et familles. – Où le village a-t’il commencé ? – Premières maisons ; premières familles. – Bastides et population en 1630. – Habitants de 1818 à 1901 ; diminution et causes. – Nom des familles et origine.    - Page 55

IV. -Les Seigneurs des Camoins. – Frères Prêcheurs. – Evêques de Marseille. – Vente de la juridiction des Camoins. – L’écuyer Pierre Huc. – Etienne de Puget en 1647. – Les Consuls de la Ville. – Les Camoins annexés à la Commune. – Evénements avant et pendant la Révolution.    - Page 61

V. -Topographie des Camoins et Statistique.

-I° TOPOGRAPHIE. – Cimetière. – Canal. – Routes. – Terrains géologiques. – Exploitations. – Maisons et Campagnes. – Propriétaires. – Quartiers.    - Page 71

-2° STATISTIQUES. – Sociétés et magasiniers. – Ecoles et rues. – Distance, altitude et moyens de communications. – Détails pratiques. – Agriculture.    - Page 85


CHAPITRE TROISIEME : L’EGLISE PAROISSIALE ET LA CHAPELLE DES PEINTENTS

I. -Origine et antiquité de l’église des Camoins. – A quelle époque fondée ? - Ses deux agrandissements. – Chapelle dépendant de Saint-Marcel. – Longueur et valeur ; style. – Triste état de cette petite église au temps jadis.    - Page 91

II. -Transformation et objet d’art. – Transformation intérieure et extérieure (1888-1894). – Peintures. – Maître-autel. – La Vierge de l’Assomption. – Panneaux eucharistiques. – Statue de sainte Agathe et buste de Saint Roch. – Le Crucifix sculpté.    - Page 96

III. -L’église avant et pendant la Révolution. – Service religieux. – M. Lalane, desservant des Camoins (1770-1792). – Comment les prêtres nommés et payés dans les quartiers de Saint-Marcel. – Difficultés. – Le prieur des pauvres. – Autrefois et aujourd’hui. – L’église pendant la révolution. – Le Père Long, succédant à M. Lalane. – Où disait-il la masse ? – Son dévouement.    - Page 104

IV. -L’église après la Révolution. – Réouverture (1801). – Paroisse. – M. Long, premier curé, desservant toute la contrée. – Succession des curés. – Conseil de Fabrique. – Une figure disparue. – Limite de la paroisse. – Discussion curieuse à ce sujet, avant 1798.    - Page 112

V. -Chapelle des Pénitents. – Son antiquité et sa fondation. – Sa façade. – Statue de N.-D. du Rosaire. – Propriétés ecclésiastique. – Confrérie des Pénitents blancs du Saint-Esprit. – Ses heures de gloire. – Etait-elle une association secrète ? – Derniers vestiges.    - Page 126


CHAPITRE QUATRIEME : LES ENVIRONS DES CAMOINS

I. -Eoures. – Description ; origine ; signification. – Moines de Saint-Victor. – Prieuré. – Chanoines prébendés de la Major. – Antiquité de Notre-Dame d’Eoures. Eoures réuni aux Camoins (1801) et à La Treille (1832). – Paroisse (1845). – Reconstruction de l’église. – Limite de la paroisse. – agriculture. – Eau du canal. – Population. – Sites pittoresques. – Le château d’Eoures et sa chapelle.    - Page 131

II. -La Treille (le village et l’église).

-I° LE VILLAGE. – Description. – Origine du nom. – Les Durbec et leur sceau de famille. – Population. – Trois communes. – Quartiers. – Le Vallon du Vallat ; Fontaine du Chaudron ; Source et fontaine ; Les Escaupres. – Le Vallon Etroit et Passe-Temps. – Baume-Sourne. – Vallon du Gour de Roubaud et Garlaban. – Fontainebleau. – La Treille, pays d’avenir … avec les tramways.    - Page 149

-2° L’EGLISE. – Le clocher. – Historique. – Desservants avant la Révolution. – La Terreur et Dom Joseph de Martinet. – Paroisse en 1843. – Joie du curé et de la population. – Limites de la paroisse. – Succession des curés depuis 1832.    - Page 158


PIECES JUSTIFICATIVES

I.-BULLE DU PAPE HONORIUS III aux religieuses de Saint-Sauveur, touchant Porporières ou Corporières, aujourd’hui Les Bains (12 OCTOBRE 1216).    - Page 171

II.-ACTE DE TRANSACTION passé entre l’évêque de Marseille Etienne de Puget et la Ville, touchant la cession de la commune de la seigneurie de Saint-Marcel et de son terroir (29 mai 1647).    - Page 173