En guise d’introduction    - Page  5

Chapitre 1 – La croisée des chemins    - Page  17

L’émigration coloniale. Le rêve algérien    - Page  18

La grande migration. L’organisation du trafic    - Page  19

La grande migration et ses retombées à Marseille    - Page  22

Les agences de migration à Marseille    - Page  24

Chapitre 2 – Les minorités installées : évolution et permanences    - Page  29

Les modifications du cadre économique et urbain     - Page 29

Une approche limitée de la population flottante     - Page 31

Les constantes de la migration    - Page  35

L’Internationale des notables     - Page 39

Des minorités installées    - Page  43

Chapitre 3 – Le modèle suisse    - Page  51

Un regard sur le passé     - Page 51

Une communauté qui s’organise    - Page  53

Une dominante bourgeoise qui recouvre une grande diversité sociale    - Page  54

Une vie associative dynamique    - Page  57

Une solidarité agissante    - Page  60

Des pouvoirs dans la cité : l’Eglise et le négoce    - Page  62

Une intégration sans perte d’identité    - Page  64

Chapitre 1 – Les formes nouvelles d’une ancienne migration    - Page  69

D’incontestables permanences    - Page  69

Diversification des origines régionales    - Page  72

Les routes de la migration et les conditions d’arrivée    - Page  74

L’installation dans la cité    - Page  76

Chapitre 2 – Les travaux et les jours    - Page  79

Le monde de la mer    - Page  79

Journaliers et ouvriers de l’industrie    - Page  82

Le monde de l’artisanat et du petit commerce    - Page  86

Du service hôtelier à la domesticité    - Page  87

Les « paysans » de Marseille88

Elite et progrès social    - Page  89

Chapitre 3 – Des conditions de vie difficiles    - Page  91

Des revenus faibles et aléatoires    - Page  91

Un habitat malsain et précaire    - Page  93

Les formes de sociabilité dans les communautés italiennes    - Page  95

Influence et pratiques religieuses    - Page  98

Le rôle de la famille : élément d’intégration ou gardienne de la tradition ?    - Page  100

Chapitre 1 – Du refuge politique à la « menace terroriste »    - Page  105

La complexité des phénomènes de rejet    - Page  105

Immigration et refuge politique    - Page  106

L’activité politique des étrangers à Marseille à la fin du XIX^e siècle : les Anarchistes    - Page  110

Naissance et activités d’un socialisme italien    - Page  113

Chapitre 2 – Le poids des images : nationalisme et xénophobie    - Page  117

Une sympathie naturelle qui s’efface progressivement    - Page  117

Ultra-nationalisme et antisémitisme    - Page  118

La barrière « nationale » et le thème de l’invasion italienne    - Page  121

Le monde de la brutalité et la délinquance    - Page  122

Le stéréotype dévalorisé de l’immigré italien    - Page  124

Chapitre 3 – Concurrence et affrontement : les Vêpres marseillaise    - Page  127

Une rivalité déjà ancienne    - Page  127

Les Vêpres marseillaises : un événement au retentissement exceptionnel    - Page  129

Une explosion locale qui recouvre des rivalités profondes    - Page  134

Vingt années d’affrontements sociaux    - Page  137

Des signes avant-coureurs d’une évolution    - Page  140

Chapitre 1 – Une diversité accrue par des besoins nouveaux    - Page  145

Italiens et Français dans les premières années du XX^e siècle : vers une action ouvrière commune    - Page  149

L’appel à de nouveaux immigrés    - Page  152

Chapitre 2 – Une brusque accélération de l’Histoire    - Page  157

Le choc de la guerre. Des conditions économiques défavorables    - Page  157

La mobilisation italienne    - Page  159

La main-d’œuvre occasionnelle : les réfugiés    - Page  162

Internés et prisonniers de guerre    - Page  164

De nouveaux recrutements. La dominante espagnole    - Page  166

Les « travailleurs coloniaux »    - Page  168

Chapitre 3 – Au seuil du XX^e siècle : Rejets et formes d’intégration    - Page  173

Des méfiances sélectives et conjoncturelles    - Page  173

De nouveaux arrivants et de nouveaux rejets    - Page  175

Le regain de la menace révolutionnaire    - Page  177

Des formes progressives d’assimilation    - Page  178