Parrains et caïds, mode d’emploi - Page 11
Chapitre 1 : Ils se sont appelés la « Dream Team » - Page 21
« Le Grand Daniel, Limougeaud tendance autoritaire - Page 21
La mort de « Michel le Militaire » - Page 24
« Le groupe de malfaiteurs le plus professionnel en Europe » - Page 27
Les flics n’assistent pas a un rendez-vous sentimental - Page 30
Un voyage au Maroc se prépare - Page 32
« Tu es le grand malin » - Page 36
« La Fripouille », professionnel jusqu’au dernier verre - Page 39
« Un coup sûr » - Page 41
Quatre minutes, cinquante projectiles - Page 43
« Tous ont en commun une détermination sans faille » - Page 45
La Marseillaise et ses homme - Page 48
Chapitre 2 : Le temps des Manouches (les pionniers) - Page 51
Trois frères - Page 51
« C’est bon, les Hornec ont franchi le cap » - Page 54
Claude Genova, ses pâtes, ses pizzas, son orchestre - Page 59
« Claude Genova était un être dangereux et déraisonnable » - Page 63
En balayant cet homme, on a libéré un empire - Page 67
« Seuls des aveux pourraient éclairer la justice » - Page 69
C’est à eux que l’on rendra des comptes - Page 72
« Il y a des gens qui nous en veulent » - Page 75
« Je ne suis titulaire d’aucun diplôme » - Page 79
Jean-Claude Hornec, président de la Société de colombophilie de Montreuil - Page 81
Michel Gabarres, l’homme aux petites lunettes rondes - Page 83
« Il n’y a qu’un gros fantasme policier » - Page 85
Chapitre 3 : Arabes et kabyles de France (les pionniers) - Page 89
La carrière fulgurante de Nordine Bénali, dit « la Puce » - Page 89
Nordine Mansouri, alias « la Gelée », miraculé du mégot - Page 95
Ihmed Mohieddine, profession : délinquant - Page 101
Mohamed Denfer, de Tourcoing à Saint-Raphaël - Page 109
L’ainé des Denfer, les bijoutiers et les Church’s - Page 112
Ihmed Mohieddine en plein Suspens - Page 115
Mohamed Amimer, la « Rolls-Royce » de la cavale, tombe en rade - Page 115
Chapitre 4 : Le temps des Manouches (la relève et les amis) - Page 121
Chez les Hornec, la relève est avide d’en découdre - Page 121
Enlèvement entre Manouche sur la Côte d’Azur - Page 123
Dans certains domaines, les petits Hornec surpassent leurs modèles - Page 126
« Ta famille, elle fait trente personnes ! » - Page 129
Huit juges aux trousses du clan Hornec - Page 131
Michel Lepage : « Je suis un gangster. Je cache tout. » - Page 133
Serge Lepage, son beau-frère et le dealer assassiné - Page 138
« Une arme ? – Non, un téléphone portable » - Page 142
Des jades vendus cent fois leur prix - Page 149
Bagarres à l’Escargot d’or - Page 151
André Hadoux, patron du Délit - Page 153
Chapitre 5 : Paris à l'heure du Midi - Page 157
Marseille-sur-Seine - Page 157
« Le Bouc » et « Philippe le SS » survivent au « Belge » - Page 162
La Capelette-La Courneuve, mêmes machines - Page 166
« Leur vie gravite autour des quartiers chics » - Page 169
« Je ne comprends pas votre question » (Souhel Hanna Elias) - Page 174
Denis Drouot, un pied en Corse du Sud - Page 179
Claude Watripon et ses amis bastiais - Page 181
« Michel le Parisien », client de la « Brise de mer » - Page 187
Michel le Parisien » et le cousin corse du convoyeur - Page 189
Jean-Pierre Lepape, des postiches aux cercueils via la cocaïne - Page 191
Chapitre 6 : Antonio Ferrara et José Menconi, deux as trentenaires - Page 195
« Nino » Ferrara, alias « Succo » - Page 195
« Ne laissez pas la porte ouverte » - Page 198
Sur la liste des « durs à cuire » - Page 203
Les « clefs du bonheur » - Page 208
Opération militaire à la prison de Fresnes - Page 210
« Tu vas nous payer le champagne - Page 213
« Un sentiment amoureux grandissant vis-à-vis de « Nino » - Page 215
Antonio Ferrara veut se faire tout petit - Page 218
José Menconi, première évasion - Page 220
« Toi, le nabot, tu dégages ! » - Page 223
« Je conteste les amalgames injustes et faciles » (José Menconi) - Page 227
« Il dit s’appeler Pierre et il a l’air furax » - Page 232
Chapitre 7 : Le temps des cités - Page 235
Hamid Hakkar, l’homme aux 350 000 euros - Page 235
« Une main-d’œuvre accessible » - Page 240
« Je suis un homme d’affaires » - Page 242
« Pascal le Turbulent » monte en puissance - Page 245
Faïd Redouane », la « terreur » du plateau Creil - Page 250
« Ils braquent comme ils iraient au bowling » - Page 258
Les barbes n’étaient pas des postiches - Page 261
Moussa Boukabous et ses frères - Page 262
« L’argent ça change la vie » - Page 264
Petites conversations entre amis - Page 265
« Des « Nino » Ferrara en puissance, il y en a un paquet » - Page 268
Quand la prison devient l’annexe de la cité - Page 270
Chapitre 8 : L'exil des Lyonnais et les guerres de Grenoble - Page 273
Edmond Vidal, le gang des Lyonnais et les Treets - Page 273
Jacques Grangeon gagne ses premiers galons - Page 278
Jacques Grangeon gagne l’Eldorado espagnol - Page 281
Jacques Grangeon perd la vie à Marbella - Page 284
Les voyages d’affaires de Michel Daumas, alias « Goldorak » - Page 289
Les Lothoz, trois frères et un consul - Page 292
Les Lothoz s’expatrient - Page 295
« Alain Delon » en Espagne - Page 300
Des Corses aux Manouches : les guerres de Grenoble - Page 304
Les frères Maldera aux commandes de l’Isère - Page 307
Chapitre 9 : Marseille et ses parrains - Page 311
Jacques Imbert, dit « Le Mat » : moins résistant, tu meurs - Page 311
« Je suis amnésique et ne peux répondre à aucune de vos questions » - Page 316
La PJ sauve la vie du « Mat » - Page 319
Jacques Imbert découvre la facture - Page 322
« Francis le Belge » : n°1 ou rien - Page 326
« Francis le Belge », ultime embellie - Page 330
Les Barresi père et fils - Page 333
Bernard Barresi en cavale - Page 337
Qui tient le port de Marseille règne sur son trafic - Page 339
L’ancien docker fréquentait le Stade-Vélodrome - Page 342
Les Corses de Marseille aux premières loges - Page 345
Emblématiques un jour, emblématiques toujours - Page 347
Chapitre 10 : Marseille et ses quarante bandits de grand chemin 353
Le Sarde du Vieux-Port, dit « Tony l’Anguille » - Page 353
Roland Cassone, une « grande figure » (les Américains) - Page 359
Raymond Mihières, un « Chinois » influent - Page 364
« Dédé » Cremolacce pousse un pion à l’Evêché - Page 367
A la recherche de la French Connection - Page 371
L’étang de Berre dans la main de Farid Berrahma - Page 374
Chapitre 11 : L'arrière-pays, le Far West varois et la Côte d'Azur - Page 379
« Frédéric le Polonais » investit la Provence - Page 379
Les frères Saccomano imposent la « bande des Alpes » - Page 382
« Petit vélo », « Lucky Luke » et la culture mafieuse du Var - Page 386
Les frères Perletto, résistent depuis leur cellule - Page 393
« Ca ne l’arrangerait pas de dénoncer un mort » - Page 396
« Michel le Niçois », des abattoirs au Calypso Club - Page 398
Jacques Sordi, un « Général » dans la boisson - Page 402
Roger Mouret, un Gitan chanceux dans le Midi - Page 407
Chapitre 12 : Bandits de Haute-Corse - Page 413
La « Brise de mer », un petit bar de quartier - Page 413
Alexandre Chevrière privé de sa victoire - Page 420
La longue cavale de Richard Casanova - Page 422
« Ils achètent la Haute-Corse » - Page 428
Interlude - Page 434
François Mariani, agriculteur et pionnier - Page 436
« A force de me mettre des perruques, on va finir par me reconnaître » - Page 439
Jacques Mariani, Alexandre Vittini : le temps des fils - Page 442
Chapitre 13 : La Corse-du-Sud face au reste du monde - Page 445
La folle époque de Jean-Jé Colonna - Page 445
Quand la Mafia sicilienne ne sait plus qui payer - Page 454
Les Filipendu, Sardes de Bonifacio - Page 457
Chapitre 14 : Ceux qui les traquent et ceux qui les défendent - Page 465
I – Ceux qui les traquent - Page 465
« Dis, « tonton », pourquoi tu balances ? » - Page 465
Il dit que ces hommes sont des « fauves » - Page 472
« De la chance, il en faut aussi pour la volaille » (un ancien de la PJ) - Page 475
« Si on se mettait d’équerre… » (un cadre de la PJ) - Page 478
II – Ceux qui les défendent - Page 481
« Ils ont fait leur Mai 68 avec vingt ans de retards » (Me Jean-Louis Pelletier) - Page 481
« L’avocat qui n’obtient pas de résultats est un traître » » (Me Jean-Yves Liénard) - Page 483
« Certains auraient pu faire de grandes écoles » (Me Jean-Yves Leborgne) - Page 485
« Les voyous sont présumés coupables, car ils ne vivent pas comme nous » (Me Denis Giraud) - Page 487
« Francis pensait que personne ne s’en prendrait au symbole qu’il était » (Me Frédéric Monneret) - Page 489
« Comme avocat, j’ai besoin de garder un pied dans cette délinquance dure » (Me Pierre Haïk) - Page 491
« Les voyous sont comme tout le monde : ils veulent du fric » (Me Michel Konitz) - Page 493
« Nice, c’est un peu comme la Corse » (Me Gérard Baudoux) - Page 494
« L’avocat est là pour bloquer les rouages » (Me Gérard Zbili) - Page 496
« Ils paient toujours en espèces » (Interlude anonyme) - Page 497
« On est peu de chose » (Me Franck de Vita) - Page 498
« La présomption d’innocence n’existe plus ! » (Me Lionel Moroni) - Page 499
« On est du même milieu » (Me Marcel Baldo) - Page 501
« L’avocat peut se prendre deux balles » (Me Karim Achoui) - Page 503
EPILOGUE - Page 507
Annexes - Page 511
Bibliographie - Page 513
Index - Page 514